> Après¨s une soirée, un gars ramene sa copine chez elle, dans un quartier
> tress huppé.
> Ils s'embrassent langoureusement devant la porte d'entrÉe et le gars
> se sent de plus en plus excitÉ.
> Avec un air confiant, le sourire du tombeur aux lÈvres, il se penche
> vers elle en souriant, une main accolÉe contre le mur (trÈs important
> pour la suite de l'histoire !!!) et lui dit :
>
> "ChÉrie, et si tu me faisais une pipe ?"
> HorrifiÉe, elle rÉpond: "Mais t'es malade ! Mes parents pourraient
> nous voir !"
> "Oh alleeez ! Qui va nous voir à cette heure ?" demande-t-il d'une
> voix haletante.
> "Non, s'il te plait. Imagines-tu si on se fait prendre ? La fille du
> juge local se doit d’etre exemplaire !"
> "Oooh alleeez ! Il n'y a personne aux alentours, ils dorment tous."
> "PAS QUESTION ! C'est trop risquÉ !"
> Lui de plus en plus excitÉ : "Oooh s'il te plaIt, s'il te plaIt,
> je t'aime tellement."
> "Non, je t'aime aussi, mais je ne peux pas"
> "Oh ouiiiii tu peux ! Tu peeeeeux ! S'il te plaIt !"
> "Non, non et non. Je ne peux tout simplement PAS"
> "Je t'en supplie "
> "Donne-moi une seule bonne raison !" dit-elle.
> Le jeune homme se lance alors dans une argumentation passionnÉe de dix
> bonnes minutes sur les besoins et pulsions masculines, d'une voix de
> plus en plus rauque, le souffle court, le rut animal transparaissant
> de plus en plus dans sa voix.
>
> Soudain, la lumiÈre dans l'escalier s'allume et la soeur aInÉe de la
> jeune fille apparaIt en pyjama, les cheveux en bataille, les yeux
> bouffis et leur annonce d'une voix endormie :
> "Papa m'a dit de te dire que soit tu lui fais sa pipe, soit moi je la
> lui fais, qu'en cas de besoin, Maman dit qu'elle peut descendre aussi
> pour la lui faire, mais par pitiÉ, dis-lui d'enlever sa main de
> l'interphone "