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Oui mais moi au moins il existe ce bouquin
vous oubliez les magasine coquins
nan, j'ai internet
encore heureux, tu ferais quoi sans??
Douze leçons sur l'histoire est tout le contraire d'un cours magistral : des anecdotes, un style, une voix, bref, un ouvrage vivant, toujours passionnant, qui parvient à cerner les enjeux du métier d'historien en douze chapitres issus d'un cours donné en Sorbonne.Alors que les historiens français répugnent à entamer une réflexion épistémologique sur leur science et qu'à force d'emprunts à l'économie, la sociologie et la linguistique, l'histoire apparaît "en miettes", Antoine Prost a jugé nécessaire de faire le point sur la place et le rôle social de l'histoire et des historiens. Et l'auteur, spécialiste de la société française, de souligner notamment la place éminente que tient l'histoire en France, constitutive de l'identité nationale et fortement relayée par l'institution scolaire.Non sans un certain didactisme, mais toujours avec faconde, l'historien nous livre avec plaisir sa passion. De nombreux encadrés rendent hommage à ses illustres confrères :
Sujet intense et vraisemblable, l'affrontement d'un prêtre et d'un franc-maçon dans un camp de concentration. Vaut surtout par le dialogue.
Septembre 1939 : les hordes hitlériennes déferlent sur la Pologne. Mai 1940 : les blindés allemands traversent les Ardennes. L'armée française s'effondre, même si un colonel visionnaire devenu général, Charles de Gaulle, parvient à faire reculer la Wehrmacht à Montcornet et à Abbeville. Juin 1940. De Gaulle refuse d'accepter l'armistice demandé par l'état-major français et le maréchal Pétain. Depuis Londres, le 18 juin, il lance son appel à la poursuite des combats. Il veut sauver la nation, pour affirmer les droits et la grandeur de la France éternelle qu'il incarne alors.
Depuis Bir-Hakeim, la France combattante guidée par de Gaulle tient sa place dans les batailles que livrent les Alliés. Mais le débarquement de ces derniers en Afrique du Nord française pose un grave problème politique. Roosevelt, président des États-Unis, refuse de voir en de Gaulle le chef des Français. Il lui préfère l'amiral Darlan puis le général Giraud. De Gaulle aurait pu accepter la situation mais l'indépendance et l'avenir de la France sont en jeu... Quant à la résistance intérieure le Générals'efforce constamment de la conduire et de l'unifier, car son action conditionne un acte essentiel : la libération de la France par ses propres fils !
attends , mais tu lis super vite , je suis toujours au mm livre moi